Kerisore

KERISORE est un laboratoire familial français né d’une situation très concrète : une otite nocturne chez l’un des fils du fondateur médecin. De cette nuit compliquée est née l’idée de concevoir des dispositifs simples pour soulager les douleurs d’oreille, sans sophistication inutile, en s’appuyant sur l’expertise médicale et le réseau officinal. Conçu, fabriqué et commercialisé en France, KERISORE s’adresse aux familles, aux enfants sujets aux otites et aux voyageurs, avec une approche pratique, rassurante et centrée sur le conseil santé en pharmacie.

Qui est le laboratoire KERISORE et comment est-il né ?

KERISORE, c’est l’histoire d’un Père médecin, de ses deux Fils et d’un Cousin par alliance :

Le Père imagine le premier produit lors d’une otite nocturne particulièrement douloureuse chez son enfant.
Ce Fils devient ensuite le commercial du quatuor, au contact direct des pharmacies.
Le Fils aîné prend en charge le design et l’ergonomie des dispositifs.
Le Cousin insuffle l’énergie entrepreneuriale et structure le développement du laboratoire.
Chaque membre a trouvé naturellement sa place, ce qui donne une marque cohérente, proche du terrain et très attentive aux besoins concrets des familles.

Pourquoi KERISORE se concentre-t-il sur l’otite et les douleurs d’oreille ?
L’otite est une inflammation de l’oreille à l’origine de douleurs qui peuvent être très violentes, en particulier la nuit, comme la plupart des douleurs inflammatoires. Chez l’enfant, ces épisodes sont fréquents, anxiogènes pour les parents et souvent associés à la fatigue, à la fièvre ou à des voyages (avion, montagne).

KERISORE a choisi de développer des solutions ciblées sur :

la gestion des douleurs d’oreille et de la pression ;
les situations de variations d’altitude ou de pression ;
l’accompagnement des enfants et des adultes avec un cadre sécurisé, en lien avec la médecine et la pharmacie.
Les atouts clés du laboratoire KERISORE
Laboratoire familial français à taille humaine
Fabrication en France (Nîmes, Apt) et circuits courts
Dispositifs pensés à partir de situations vécues (otite nocturne, douleurs d’oreille)
Collaboration étroite avec le réseau de pharmacies d’officine
Positionnement clair : confort de l’oreille et accompagnement des otites

Comment utiliser les solutions KERISORE en pratique avec vos patients ?
Les dispositifs KERISORE sont conçus pour être intégrés dans une prise en charge globale des douleurs d’oreille : antalgiques, suivi médical, hygiène ORL, gestion des voyages.

En pratique :

Toujours lire la notice pour connaître les indications, contre-indications et limites d’utilisation.
En cas de fièvre, écoulement, baisse de l’audition, douleur très vive ou antécédent de perforation : orienter vers le médecin ou l’ORL.
Expliquer clairement aux familles que ces dispositifs ne remplacent pas le traitement médical, mais améliorent le confort dans des situations ciblées (notamment la nuit ou en altitude).
Adapter le discours selon l’âge de l’enfant, l’historique d’otites et les épisodes récidivants.

FAQ KERISORE : questions fréquentes en pharmacie

KERISORE est-il vraiment un laboratoire français ?
Oui, KERISORE est un laboratoire familial français, avec une fabrication réalisée en France (notamment à Nîmes et à Apt) et une distribution orientée vers les pharmacies d’officine.

Les solutions KERISORE remplacent-elles un traitement de l’otite ?
Non. Elles complètent la prise en charge médicale : en cas de suspicion d’otite (douleur vive, fièvre, enfant inconsolable), la consultation chez le médecin ou l’ORL reste indispensable.

Peut-on proposer KERISORE pour les enfants ?
Oui, sous réserve de respecter scrupuleusement les indications d’âge, les notices et de s’assurer d’un suivi médical adapté, surtout en cas d’otites récidivantes ou d’antécédent de chirurgie ORL.

Pourquoi les douleurs d’oreille sont-elles plus fortes la nuit ?
Comme pour beaucoup de douleurs inflammatoires, la position allongée, la fatigue et les variations de pression internes majorent la perception douloureuse la nuit. Si ces douleurs reviennent régulièrement, il faut orienter vers une réévaluation médicale.